Résumé de l'épisode précédent : Du 30 mars au 25 avril, Bobar étale sa vie sur les murs de l'ahurissante bibliothèque municipale de Laon.
Après avoir conquis les foules avec sa première partie de visite, Bobar conclut son diptyque en grandes pompes.
Essuyez vos pieds avant d'entrer.
Il est temps de détailler la ribambelle de créations Bobariennes.
Un “must have” de la musique classique.
Virtuose concerto réalisé en l’honneur de la montée sur le trône de Ronald MacDonald. Bobar y démontre ses talents de maitre compositeur et applique une harmonique justesse rythmique en 3/4 temps. Cet LP inspirera nombre de ses successeurs, Beethoven, Schubert, Rossini, Mendelssohn, Chopin, Brahms même si ces derniers nieront toute référence jusqu’à leur dernier râle.
Le Bobarphone, prototype de téléphone cellulaire racheté en 1980 par l’armée américaine et transféré par la suite à France Telecom U.S. Division, Chicago, Illinois qui se chargera de sa convertion en minitel, précurseur de l’internet.
Le Bobaroïd, appareil photo compact couleur à développement instantané dont Bobar donnera, avec une élégance infinie, les brevets à une jeune entreprise polarisante en 1948.
La visite se poursuit avec, enfin, une illustration sous cadre. Vous noterez au passage l'exclusivité, cette illustration n'étant pas encore parue sur le blog.
Une affiche coup de poing
Une deuxième vitrine, offrant aux curieux, une étude science naturellement approfondie de l'individu Bobar.
Il est temps de faire demi-tour, la visite est finie.
Oui la sortie c'est tout droit.